Dans la nuit du vendredi 31 décembre et à l’aube du samedi 1^er janvier, donc au tout début de cette année-là, j’écrivais ce qui suit :
 «  00h00   Minuit . La fin d’une année, la fin d’un siècle, la fin d’un millénaire »

Vous aurez compris que c’était au début de l’an 2000, au début d’un « temps nouveau » comme l’avait si bien chanté Renée Claude quelques années auparavant.

Je poursuis :

« Nicole et moi, accompagnés de Biko notre chien, marchons sur la plage de Wells (Maine). Nous sommes là, à contempler l’immensité de l’univers :

• l’océan Atlantique à notre droite avec le bruit des vagues,
• la voûte étoilée et ses milliards de points lumineux.
  Tous ces mondes inconnus et toujours inexplorés que sont les galaxies.

Et puis il y a eu ces quelques années que nous avons vécues depuis, de passage sur notre terre.

Sont survenus depuis des événements marquants qui resteront toujours gravés dans notre mémoire individuelle et dans notre mémoire collective.

Oh oui, nous avons fort heureusement oublié le ‘bug’ de l’an 2000. C’était peut-être un canular. Qui sait?

Mais ces autres événements nous ne les oublierons jamais :

• l’hécatombe des tours du World Trade Center, le 11 septembre 2001,
• l’incursion subreptice du virus du SRAS en 2010,
• et en 2020 ce ‘maudit’ coronavirus communément appelé COVID19.

Tout cela nous force à réfléchir à notre fragilité en tant qu’humains.

Mais nous sommes toujours là et … nous (sur)vivons!

C’est en fait ce que l’on peut se souhaiter de mieux pour la prochaine année.

Excusez-moi mais je dois vous laisser. Je m’en vais mettre de nouvelles bûches dans le foyer et aussi continuer à siroter mon scotch préféré.

À la bonne vôtre et longue vie à tous les Cotnoir, Cottenoir et Préville qui suivent assidûment ce blog.

Jacques Cotnoir
Saint-Donat (Qc)